The Dark Age

Forum RP dans l'univers de Vampire Dark Ages.
 
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 Sévin d'Avrée

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Sévin d'Avrée

Sévin d'Avrée

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MessageSujet: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Mar 30 Juil - 21:14

Fiche de présentation


[Sévin d'Avrée]


Informations

  • Nom : D'Avrée
  • Prénom : Sévin, Dit Sèvenin
  • Infant de : Sesta di Ventimiglia (Sestée De Vintimille)
  • Sire de : Ceux qui croient en leur bonne étoile me talonnent. Seuls ceux qui brillent me jalonnent.
  • Lieu de naissance : Arthel, province du Nivernais, Comté de Nevers.
  • Date de l'Etreinte : 1113
  • Age visible : Dans la force de l'âge
  • Age réel : 103 ans
  • Clan : Toréador
  • Génération : Neuvième
  • Domaine :  Des appartements, dans le Quartier des Marais
  • Discipline : Présence, Célérité, Augure




Caractère


L'enlangagié pousse à dire vrai nombre d'anciens à se pincer les nasaux, il brise la rigor mortis pour creuser des rides du lion et fait rouler des yeux dans leurs orbites. Il en fait des choses … Oui. Dans un seul but, sans doute : Eprouver.
Aussi loin que Sévin s'en souvienne, il était de son vivant dissolu, voué à la même quête que tous les autres hères de sa stature - s'affranchir de la peur - la peur d'une mort omniprésente. Il n'y avait qu'une hégémonie, celle de la grande faucheuse et tous en étaient les serfs, les plus fortunés comme les plus démunis. Quelle était la voie à suivre pour être libre ?
Faire comme ces sales charognards opportunistes du clergé ? Promettre ?
Comme comme tant d'autres ambitieux ? Briller de son vivant pour rendre la fin plus acceptable ?
Devenir servile et vendre sa dignité ? En suivant le courant pour gagner quelques répits ?
Non. Sa réponse sur le sens de la vie, lui vint comme une évidence : Il devait "éprouver". Passion, ivresse, désespoir, rage … Tout. Il ne voulait pas considérer la camarde comme une ennemie et l'attendre prostré, mais l'accueillir en amie en allant la courtiser, toujours un peu plus. Pouvait-on se sentir plus vivant ? Avoir le contrôle, autrement ?
Ecumes d'ambre, de rouge, de couleurs insoupçonnées, plantes aux vertus de vice, chair … Toutes ces exhortations capables de porter un homme au dessus de tout. De tous.
Sévin a vécu comme un débauché et survécu en mécène, celui d'artistes insurgés, de mutins, de tous ces parias qui embrasent ce monde, pour mieux l'éclairer. L'on peut donc se questionner sur les raisons qui ont amené ce goliart à la cour, quel sang-bleu tolèrerait une pomme de discorde au sein de son petit Eden bien ordonné ?
Apporter une réponse à cette question, serait fort prétentieux, Sévin soupçonne cependant la Seigneurerie parisienne de suivre un simple crédo : " Sois proche de tes amis et encore plus de tes (eventuels) ennemis ". Ainsi donc, "Sèvenin" déclame et joue pour le ravissement des oreilles, en usant de son verbe et de sa verve, il desnue subtilement les hauts. Ceux là même qui ricanent grassement, les braies aux chevilles.
Au delà du Bateleur, de l'amuseur, il existe cependant un homme d'influence, un 'petit prince' des betuns que beaucoup ont mésestimé à leurs dépends. Un manipulateur plutôt doué pour travestir la vérité, manier la vraisemblance et se constituer des ouailles.
Pour l'heure, c'est sans doute tout ce que vous devez, ou voulez savoir ... La Voie de l'humanité est plus dure à suivre pour certains hères. Le reste appartient à son histoire.

 


Physique


Le portrait d'un Artisan est bien souvent celui d'un bobert en collants, bien affété et empimenté de florete. Un benêt au palais sensible qui dégorge la plus subtile des liqueurs en s'émerveillant, tous sens exaltés, devant une croûte ou les élucubrations d'un soiffard. Louées soient ces visions risibles, pour les agitateurs du cru d'Avrée.
Ce gaillard de haute taille, n'a pas recelé l'ambroisie du baiser de l'éternité, sur la pulpe d'une rosière enhardie par les jolifs, il n'est à dire vrai, pas nécessairement 'mirifique'. Il est "Acceptable" en comparaison des trognes de laiderons contrefaits par la consanguinité et les jovencelins de campagne hébétés par la simple présence de mignonnes. Oui, il possède ce "Je-ne-sais-quoi", ce magnétisme mystifié par les nigaudes comblées de balades et fables romantiques, aveuglées par les parangons littéraires du gentilhomme … Qu'on se le dise, ce rustaud n'a rien de chevaleresque, il est simplement un habile goujat.
Pour ce que l'on en sait, cet infant de la rose traine au milieu des écumeurs de fange, plus près de ceux qui nagent dans les mêmes eaux que lui ; des plus troubles, soyez en sûrs. Plus querelleur que brigand, plus luxurieux que fringuant, ce bordelier expose un corps laborieusement ciselé par l'effort et très rapidement corrompu par le vice. En somme un "râble" vallonné par une musculature modeste, il le doit autant aux pugilats de tripot qu'aux fringales succédant l'ivresse. Son visage taillé à la serpe, grêlé de traits rigides semble avoir gardé en dépit de sa fraîcheur toute mortuaire, un certain 'hâle'. Le linceul marbré de la faucheuse n'a guère réussi à couvrir le leg méditerranéen de ce Neversois.

Si une chose est à souligner chez le sale moutard d'Avrée, ce sont ses mires d'un noir profond, sans doute la plus expressive de ses caractéristiques. Deux puys que l'on dirait sans fond et sans pupilles, d'une intensité qui ne laisse place qu'à l'interprétation. Sa coquetterie à l'oeil gauche en tous les cas ne semble guère incommoder ces dames, même si elle fait se gausser, les "conquérants". Sous son nez en bec de corbin, dardé par les poils drus d'une moustache, s'ébauche une bouche ténue, aux rictus naturellement insinuants … Le lourd sceau des fossettes ; toutes les marques de fabrique ne sont pas bonnes à prendre. Le visage déjà oblong du caïnite est étiré par une longue barbasse, prétendument taillée en barbiche.
Ses accoutrements non plus ne sont pas du meilleur goût, l'on ne saurait dire si ses frusques sont passées ou avant-gardistes. Chemises de chaislin aux lacets détachés, jaques de cuir cintrés et crevassés, brocarts sombres niellés de dorures et d'argent, des braies trop serrées et des bottes usées. Sans compter cette vulgaire étoffe d'écarlate ceignant son tronc ... Un étrange paradoxe vestimentaire tendant vers l'ostentatoire dépassé, "appauvri". Il en ressort peut-être, simplement, que ce baladin aime l'inconstance, vous savez ce que l'on affirme concernant les 'Artistes' : Ils se laissent défroquer au jour d'hui, ils vous habillent endemain..


Histoire



En l'an de disgrâce, 1099 :

" Pouvait-on trouver un autre nom à ces non-natifs d'Arthel ? A cette famille de Celliers venus d'Avrée, ces faquins, dit-on, qui sous le tabard des croisés, s'en étaient allés piller les mécréants pour établir leurs petites routes commerciales et comptoirs à épices. Ces parasites implantés dans ce joyau du Nivernais pour nous arabler le corps et le sang du christ. Parlons donc de leur sale engendrement, Sévin, ce rejeton insolent qui courre les pute vérolées et colle ses espices dans notre vin.
Ils se croient tellement supérieurs à nous autres … Leur fressange de moutard s'en va en cette bordelerie qu'était la Lombardie. Comme il sait écrire, il a été pris comme Tabellion par un de ces hobes désoeuvrés pour salir le vélin … Ils se croient tellement supérieurs à nous autres. Sales devicios … "


- Gardones d'un soiffard Artadois de l'echope du 'Vermeil Esnasé' -  

L'an 1111 - Les premières saveurs de Suse  :

Il avait les mots … Un équilibre entre l'amertume et la douceur, l'arôme d'un fruit exotique liquoreux dont le premier attrait était la celée, la découverte d'une nouvelle saveur. Un poison insidieux et sournois bruslant mon cueret assoiffé. Sévin … Ce franc orateur qui a soulevé en moi cette passion que beaucoup condamneraient. Ce bote-en-coroie … Ce brigand. Decevable ! Il courre aujourd'hui à sa perte et cette idée me réjouit, la grande Dame de Vintimille le brisera car je le sens et je le sais, il l'enlovit et rampe. Face à elle, il est muet, ses rugissements ne sont plus que feulements …
Si j'avais eu le teint diaphane de son amie, les manières de l'asservir, il n'aurait plus rien à rapiner. C'est peut-être la grande force de cette belle marmoirée, celle de ne plus avoir de coeur, juste un trou béant qu'elle rempli avec celui de ses liés …
Que cela me serve d'enseignement, je me relirais encore et encore, psalmodiant ces complaintes comme une litanie.

A moi, sans lui,
Esperia Sarta

L'an 1112 : La gêne de Gênes

Je pensais n'admirer qu'Othon, je le lui devais après lui avoir survécu tant d'années, lui aussi était fougueux et il aurait sans doute pu assurer la régence de Turin. Je vois cependant, sur la nimbe de ce petit Tabellion, cette même auréole de puissance, de beauté. Ce complexe prismatique vacillant et clignotant, une essence que j'essaye désespérément de toucher, comme l'arbre ardent, la "révélation" que j'attends depuis des éons, cette estraine que me refuse obstinément le Prince de Gênes. Je ne soupçonne que jalousie de sa part, et je l'admets avec une ardeur éhontée, chacune de ses contestations, soulève plus encore mon excitation. L'inacceptation relègue le Franc au rang de "fruit défendu", les critiques et récusations de mon Sire seraient donc des tentatives désespérées pour me garder ?
Chaque nuit passée sous le pont de ses bras, chaque vibrations de ce joiel m'amène à reconnaitre cette antique et primitive sensation : L'approche délicieusement avilissante du plaisir. Son cru or est doux, incomparable et riche de vie, il étanche toutes mes soifs. Si Cicerone pouvait comprendre que l'idéalisation n'a qu'un temps … Je crois enfin "Eprouver" et même si cela me réprouve, je le veux. Lui.

A moi, à lui, à nous,
Sesta di Ventimiglia.

L'an 1113 : l'abandon et l'étreinte

La belle Dame du royaume Lombard, pourrais-je trouver des mots assez poestifs pour vous la peindre ? Je le pourrais bien, son esperite me hante, ses mots m'acorent. Ses lèvres douces, pulpe de grenade, m'abreuvent chaque nuit. Dans l'abrasion de ces veillées, où nous sommes forcés de nous dissimuler comme des damnés, je connais l'union. La version députaire de la communion. Son corps ciselé et céleste, est aussi froid que le marbre mais son derme porte le hâle d'une chair gorgée de soleil. Le sol de l'éther noir. Ses yeux d'aigue, luisants comme le plus fourbe et profond des abysses, m'éconduisent vers des mers encore inexplorées. Des ondes que l'homme prétentieux pense pouvoir maîtriser avant d'être emporté par le maelstrom de son courroux, d'être noyé par sa houle. Je passe sur ses jambes d'échassier, des gares qui n'en finissent plus, sa taille fine et ses seins fermes, ses courbes plus qu'harmonieuses ... Parfaites. J'embrasse chaque crépuscule le parangon de la beauté et en ne faisant que le deviner. Je sais que cette jolieté aura un prix.

----

Après cette lourde et oppressante nuit de julot, en dépit de l'été, mes nuits furent longues. La réponse à toutes mes interrogations ne souleva que plus de questions encore ...
J'étais mort. Vivant. Non mort ? Non vivant ? Bon vivant pour un mort, cependant.
Les bordes fielleuses ne m'aidèrent en aucun cas à accepter ce "vol". Sestée avait posé ses conditions et je comprenais seulement anquenuit, que je devais mon état de servitude à son vin ... Que m'avait-elle servi d'autre ?
Des mensonges, des fables ? Bien que notre lit soit fait, que l'éternité offerte en dot de ce funèbre anel me tienne auprès de cette diablesse. Je peine à ne pas lui tenir rancoeur de ce choix, la vie est déjà si difficile à combler ... Comment emplir l'urne sans fond, de la perpétuité ?

Sévin d'Avrée, Tabellion de Maurin de Neuvy.

1138 : l'Aisin de la Roya

Elle portait une cotte hardie vermeille, surmontée de cette draperie éthérée d'écarlate.

Sur les coteaux de la Roya, par delà ses magnifiques cépages, j'ai appris à 'me laisser vivre' ... J'admets avoir pensé égoïstement de cette existence faite d'obligations, qu'elle fut ennuyeuse et monotone. Même aux côtés de mon amante, je brûlais de parcourir le monde. J'étais consolé par des propos avenants, abordant le temps qui m'était imparti, illimité, Selon les dires de ma geôlière.
- "un homme qui n'était plus limité, n'avait plus de frontières, plus de confins."
Devais-je me contenter de cela ? Je la soupçonnais de suivre le même schéma que son ancien Sire, avec lequel elle avait de toute évidence, décidé de ne plus entretenir de correspondance.
J'errais donc sur les croupes moribondes comme une âme en peine, prenant jour après jour conscience que ce que j'avais vu comme une offrande, était au final une malédiction. La chaîne de ce que j'avais pris pour une breloque était un solide maillage de fer, la chaîne qui me reliait à un seul axe : Sestée.

Je m'en étais allé comme nombre de soirs hasarder aux dés avec quelques vandales, ces excursions restaient les seuls moment privilégiés où dans la moiteur et la puanteur, j'approchais cette vieille drogue, cette singulière fièvre ... Un mélange confus de sensations que la quiétude m'amenait à oublier. Cette nuit là j'ai subit une antique émotion ... La douleur.
L'on aurait pu imaginer la fomentation odieuse d'une élite caïnite, se figurer qu'il s'agissait d'une manoeuvre sauvage d'indépendants, mais ce qui avait embrasé notre demeure surplombant la Roya, c'était la main d'un "homme". Je ne connais ni son nom, ni les raisons pour lesquelles il avait décidé de me pousser à la folie cette nuit là, mais j'ai dansé par delà les flammes, mu en 'monstre'. Les nerfs à vif, sans conscience ... Je ne me souviens que de l'aigreur du raisin et du sang, la cendre et l'odeur de Sestée, imprégnant son seul châle d'écarlate, épargné par le brason. De l'aube passée dans l'étable d'un calamier, un pauvre hère victime d'une chaîne sanglante. J'étais libre, mais toujours entravé par le poids de la culpabilité. Amoindri par le chagrin ... Prêt à tout perdre, enfin, même mon humanité.

Sévin d'Avrée, scribouillard désoeuvré.

1167-1196 : Que rome brûle ...

Sans me retourner, j'ai parcouru des lieues ... Des frontières. La plupart des "villes" placées sous le joug d'un prince, me considéraient comme un mâtin, un berseret galeux suffisamment incommodant pour être ignoré mais pas suffisamment pour être chassé.
Dans ce cadre, j'ai croisé à Venise un petit groupe d'erreors. Des Ravnos de Jatis Bashirite saignant leurs proies au jeu ... Jamais je n'aurais imaginé qu'une famille aussi singulière, accepterait de me prendre en tant que faire valoir. J'ai cependant beaucoup appris auprès d'Abtine, un patriarche bien facétieux. Je dois ironiquement ma survie, à ce caïnite qui aspirait sans doute, initialement, à l'amaranthe. Sans être un autarkis convaincu, je me suis trouvé beaucoup de points communs avec cette communauté.
Leur maniement du luth et de la flûte, était un émerveillement, j'y trouvais le moyen de m'affranchir et de suivre un parcours moins académique en matière de lettres. Notre brigue devint assez rapidement, sur le plan officiel, une troupe de bateleurs comptant nombre d'éléments riches de talents. Troubadours, cabotins entre autres prestidigitateurs, très doués pour faire disparaître le denier. Cette existence vagabonde, faite de démarches combinardes et de richesses bien mal acquises, m'exaltait, enfin.
Après avoir appris à manier le luth et le Psaltérion, je décidais de laisser mes compères en terres Occitanes, eux qui aspiraient à descendre vers l'Espagne. J'oeuvrais comme écrivain public pour quelques amanantis illettrés, de ci, de là ... Complétant mes fonds en jouant et déclamant quelques musiques sous différents sobriquets. Genest du Dois, Orel de Veure, L'espallu ... Je rencontrais aussi des artistes escalufrés, désireux de refaire le monde, de ceux qui gagnèrent dans la mort une certaine renommée : Jean renaut, Béroul, Gavaudan et l'illustre Bernart de Ventadour. Tant de personnages colorés, qui m'apportèrent du réconfort, l'envie et le désir de persévérer.
Mais, même pour les morts, il vient un moment où les cannes fatiguent, où le besoin de repos se fait ressentir. Je me savais donc obligé de me trouver un toit, tôt ou tard. Ce fut dans les bras et le lit de la Seine, que je décidais d'aller me réfugier.

Sévin d'Avrée, Entre autres.

1196 - 1216 : Entre deux cours

" Il amuse, il flâne, il ... Côtoie. Il ne sait pas nécessairement choisir des alliés susceptibles de nourrir ses intérêts, ou plutôt ceux du Prince. Pire encore, les miens. Il ne montre aucune hostilité, il endigue très officiellement les débordements du bas peuple avec 'diplomatie', mais les flammes qu'il peut étouffer ... Il est aussi en mesure de les raviver. Je sens en lui cet amour de la profusion, de la discorde, de la rébellion.
Je pourrais le haïr pour ces raisons, mais ce que je déteste par dessus tout, c'est l'idée d'avoir trouvé un adversaire à ma mesure. Un homme qui sait que les mots ont parfois plus de pouvoir que le fil de la lame ... Jouons encore petit Artisan, au masque et à l'épée. "


- Grognements d'un Ventripotent famélique.-




Et vous dans tout cela?

  • Prénom/pseudo : Sev'
  • Age : 26
  • Hobby/passion : Roleplay, écriture (entre autres)
  • Double-compte? De qui? : Personne : >
  • Comment avez-vous connu le forum? Par partenariat
  • Un commentaire sur le forum ? J'attendais depuis longtemps une bonne adaptation de DA, je l'ai trouvé ^^  


Dernière édition par Sévin d'Avrée le Sam 3 Aoû - 20:04, édité 49 fois
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Le Fou

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Mar 30 Juil - 21:42

Bienvenue à toi, Sévin ! =) J'ai entendu parler de ta venue, tel un prophète qui sait s'informer !^^ Si tu as un souci, des questions, besoin d'aide, mes compagnons et moi-même se ferons un plaisir de te répondre ! Et si tu as envie de venir goûter notre compagnie, la chatbox et le flood te sont ouverts ! =) Préviens nous quand tu auras fini ta fiche !

PS : Un Toréador ! Enfin un peu de bon goût dans ce forum de Fou ! ^^
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Solomon

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Mar 30 Juil - 22:33

Un camarade de cour, bienvenue et bon courage pour la redaction.^^
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Sévin d'Avrée

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Sam 3 Aoû - 13:41

Eh bien ... Hm, fiche terminée, je crois ^^"
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Cécilia la Douce

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Sam 3 Aoû - 23:11

Bien le bonsoir, et bienvenue ! Je viens d'essayer de lire ta fiche, mais il est tard, et j'avoue que je louche un peu sur chaque terme moyen-âgeux que tu emploies (et il y en a à foison). J'imagine que la littérature de l'époque te plaît beaucoup ?
Tout ceci pour dire que je lis ça toute à l'heure, au réveil, la tête parfaitement reposée. Pour ce que j'en ai lu jusqu'à présent, cela semble bien prometteur.
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Cécilia la Douce

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Dim 4 Aoû - 8:45


Une fois les yeux bien en face des orbites, cela va mieux. Une fiche qui s'immerge parfaitement dans l'époque (j'ai appris plein de mots de vocabulaire, je t'en remercie), qui dépeint un personnage intéressant, qui risque bien de mettre un joyeux bazar à la cour parisienne (pour "l'éprouver", bien sûr). Fiche validée, n'oublie pas tes fiches de relation, de disciplines et de domaine. Si tu as des questions, n'hésite pas.
Bon jeu à toi !

P.S : Pour le détail, je tiens tout de même à te signaler que les Harpies n'existent pas en tant qu'institution (cela est propre à la Camarilla). Si tu peux tout à fait remplir un rôle de maître des rumeurs, tu ne seras pas reconnu officiellement en tant que tel. Mais je suppose que tu auras l'imagination nécessaire pour t'imposer.

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Théobald

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Dim 4 Aoû - 9:00

Bienvenue parmi nous! J'ai beaucoup apprécié la lecture de ta fiche.
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Sévin d'Avrée

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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10Dim 4 Aoû - 11:37

Merci à vous pour votre accueil et j'espère avoir rendu un intriguant comme son nom le veut ... Intriguant. Je file donc à ma "paperasse" : D
Et à très bientôt dans les rues parisiennes !


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MessageSujet: Re: Sévin d'Avrée    Sévin d'Avrée  Gorl10

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