The Dark Age

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 Le Sourguet ...

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Le Sourguet

Le Sourguet

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MessageSujet: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Sam 7 Sep - 16:14

Fiche de présentation


Le Sourguet



Informations


  • Nom d'esclave : Le Sourguet (ce qui signifie "garde de nuit" en moyen français)
  • Ancien nom : von Wirtemberg
  • Ancien prénom : Eckbert
  • Infant de : Otto
  • Date et lieu de naissance : Juin 1094 au Château de Wirtemberg, dans les environs de Stuttgart
  • Date de l'Étreinte : Automne 1118
  • Date de la Transformation : Éte 1194
  • Age : 129 ans (bien que le Sourguet n'ai conscience que des dernières 29 années)
  • Lignée : Gargouille (ancien Gangrel)
  • Génération : IXème
  • Domaine : Aucun
  • Discipline : Endurance o / Puissance o / Visceratika oo / Vol oo






Es war einmal …

Tout commença par un tour de chasse, et par une promesse fort hâtivement oubliée. Alors que la fin d'un millénaire arrivait à grand pas, et, au sein d’une minorité cléricale, de peur que cela ne soit le dernier, les campagnes du margraviat de Bade enduraient dans l’incertitude un hiver des plus rigoureux, mêlé de superstitions et de piété dévorante. Or, cela ne semblait pouvoir priver Konrad von Beutelsbach de l’un de ses plus grands plaisirs, qui, si cette chasse devait être sa dernière, se devait d'être mémorable, qu'il emportât telle joie ou bien auprès du Seigneur, ou bien dans les ténèbres. La gent, bien droit sur sa monture, valets de chien et leurs bêtes à ses côtés, entra alors dans un bois, et ce bien malgré le vent mordant et l'inquiétude des servants.

En effet, l’on criait à travers toute la contrée que les loups s’étaient rassemblés en grandes meutes, et les miasmes de quelque hérétique, fut-il moine, faisaient germer la crainte dans les esprits des plus simples et des plus crédules. Néanmoins, le Konrad, et il était bien loin d’être le seul, n’apportait aucune importance à ces racontars de blasphémateurs. Point d’armée du Malin en ces terres ; des loups il y en avait toujours eu, et jusqu’à preuve du contraire il y en aura jusqu’à ce que la lune ait trois cornes. Mais de là à imaginer que les légions de Satan sortaient hui de terre pour tout avaler sur leur passage, et que les cavaliers ne viennent s’en mêler, rien ne le justifiait. Cependant, le chevalier ne se doutait point qu’il allait vers le danger, car, s’étant perdu en de si peu connu bosc, après avoir poursuivit un grand cerf de toute splendeur, il rencontra au crépuscule une ourse, qui, en conséquence du tumulte, et voulant défendre sa fraiche portée, sortie de sa torpeur hivernale. Le cheval s’agitant, il se cabra avant de s’enfuir, désarçonnant son maître et le laissant seul et démuni face à une male mort, la sienne aperçuement.

Or, le massif animal s’en retourna, aussitôt qu’un inconnu s’interposât et qu’il ne poussât un bien étrange grondement. Face au cavalier jeté au sol, un homme, robuste et au regard traduisant autant de quiétude que de sagesse, bien que pauvrement vêtu, l’observait. Le seigneur se relevant difficilement, puis s’époussetant, il ne pipa mot, et si le miraculé n’avait ouvert la bouche, peut-être n’aurait-il engagé de conversation de son propre chef.

"Et bien, mon brave … Je ne sais ce que vous avez fait, mais il m’est évident que je vous dois une fière chandelle. Je suis le maître de ces terres, demandez-moi donc ce que vous voudrez, et je vous l’accorderais.
- Une vie contre une autre."


Restant incrédule, Konrad von Beutelsbach mit un certain temps à délibérer sur le fait qu’il ne s’agissait pas d’une menace, bien que ces mots ne le rassuraient guère.

"Plaît-il ?
- L’homme a bien entendu. Sa vie a été préservée, une autre devra être donnée pour effacer sa dette."


L’étrange inconnu pointa alors une direction, avant de disparaître dans les fourrés, et épuisé par sa mésaventure, le chevalier n’eut d’autre choix que de suivre le chemin qu’on venait de lui présenter, son esprit tentant vainement de donner du sens à ce qui ne semblait pas en avoir. Retrouvant ses valets après une bonne heure de marche, l’esprit encore embrumé, il quitta les lieux, pour ne jamais y retourner.

***

Il est des mystères que les historiens ne peuvent s’expliquer, et dont le passé se voit criblé, en dépit du fait que l’on ne s’en rende rarement compte, et que l’on s’imagine que tout va au mieux dans le meilleur des mondes. Et ce fut bien par le plus grand des hasards qu’un étudiant en archéologie de l’université de Stuttgart retrouva sur l’un des sites de fouille de son département un manuscrit, conservé jusqu’alors dans une cassette en bois ayant péniblement survécu aux affres des siècles au sein d’un tombeau de pierre vierge de la moindre épitaphe. Après l’avoir caché aux professeurs, ne souhaitant pas que sa découverte lui soit réquisitionnée, il l’étudia, avec la plus grande minutie, dans sa petite chambre d’étudiant qu’il était, et après avoir dû réviser ses cours de latin, ce jeune curieux parvint à déterminer que l’ouvrage, qu’il avait d’abord prit pour un livre de comptes, était en fait un ordinaire*.

Seulement voilà, un détail parmi d’autres le troubla. Il s’agissait d’un nom, qu’il retrouva à plusieurs reprises, d’un noble d’après son titre, un certain Eckbert von Wirtemberg** , qui aurait vu le jour le 11 Juin 1094, et qui aurait donc dû être le deuxième fils d’Ulrich von Wirtemberg – lui même héritier du fondateur de la prestigieuse maison Wurtemberg, Konrad von Beutelsbach – si les dates coïncidaient bel et bien. Or, ni sur l'internet, ni dans les épais volumes de la bibliothèque universitaire, il n’y avait trace de cet homme. Le plus connu des fils d’Ulrich, et son héritier se nommait Jean, et parmi les cinq autres garçons du châtelain, pas la moindre trace de cet élément perturbateur. Le fameux Eckbert n’existait tout simplement pas aux yeux de l’histoire.

Cela ne se pouvait, d’après l’ordinaire qu’il tenait entre les mains, et c’était comme s’il détenait l’une des uniques preuves d’existence d’un homme, dont on avait visiblement voulu se débarrasser à jamais. Se prenant de passion pour cette énigme, il questionna le doyen à ce sujet, lui qui était reconnu comme un spécialiste de cette famille qui avait donné son nom à l’un des états fédérés d’Allemagne, qui avait prospérée dans la région, prétextant avoir cru lire dans un livre ce même nom, et qu’il n’arrivait plus à le retrouver.

Le vieil enseignant se montra d’un bien maigre soutien, car il ne semblait pas être au courant de quoi que ce fut sur cet individu, et plongea dans l’embarras le jeune homme qui ne pouvait pas même citer la référence de l’ouvrage dans lequel il avait aperçu ce nom, et pour cause il n’y en avait pas, en dehors de cette relique du passé.

Ce fut en s’intéressant à la thèse dudit doyen, traitant du bestiaire populaire médiéval allemand qu’il tomba sur un chapitre traitant de lycanthropie, dans lequel le professeur avait fait allusion à un cas s’étant déroulé non loin de Stuttgart, seulement une partie avait été rayée au marqueur noir, tant et si bien que le nom cité se révéla illisible.

Ne perdant pas courage, l’investigateur s’attarda sur la bibliographie relative au chapitre en question et emprunta tout ce qu’il pu à la bibliothèque, devant malheureusement consulter la moitié des œuvres sur place, celles-ci ne pouvant quitter les lieux. Sa moyenne baissa à mesure que ses découvertes avançaient, et c’est persuadé que le nom d’Eckbert avait été caché par honte de son état de folie, sinon à cause de son exécution pour sorcellerie – les loups-garous étant à l’époque considérés comme pratiquant de la magie noire – que l’adolescent retourna dans le bureau du doyen.

Le surlendemain, la police déclara officiellement la disparition de Peter Oberhoff, étudiant en master 1 d’archéologie à l’université de Stuttgart, que ses parents n’arrivaient pas à joindre, et qui, absent depuis quelques jours en cours, demeurait introuvable …

***

La pièce se trouvait plongée dans la pénombre la plus totale, mais des gémissements de souffrance, à glacer le sang, résonnaient dans le lieu clos, accompagnés du tintement d’une chaine. Il ne fallut pas attendre bien longtemps avant que la lourde porte en bois, unique sortie de ce qui semblait être une crypte, ne s’ouvre sur une femme de toute beauté. La chevelure brune éclairée par une simple bougie, l’ombre de ses traits harmonieux dansant sur sa peau d’albâtre, elle foudroya du regard l’être abominable qui se débattait à grand peine sur le sol pavé.

"C’est assez !"

La créature se tut immédiatement, puis se redressa, bien que difficilement, dévisageant avec fascination, de ses grands yeux jaunes, la dame qui lui faisait face.

"Q … qui suis-je ? Que fais-je ici, et qui êtes-vous ?"

Un sourire des plus sinistres enlaidit alors la figure de pureté qui éclairait autant les lieux de ses charmes que de son feu, avant qu’elle ne réponde d’un air tout aussi autoritaire que satisfait.

"Ce que tu es importe peu. Tout ce que tu dois savoir, c’est que tu n’existes que pour me servir."

La bête, un amalgame repoussant et menaçant de différents animaux, à la peau aussi grise que la roche, hocha la tête en signe de soumission, et cela fit frissonner la fleur resplendissante, d’un plaisir propre de celui d’un homme d’armes ayant vaincu un terrible ennemi, en représailles de tords irréparables.

"Bien. Ta tâche, à partir de cette nuit, sera de veiller sur mon Domaine ainsi que sur ma personne. Tu seras mon Sourguet. Tâche de ne ja-mais me décevoir ..."

***

Combien d'âges venaient de passer, sans que je ne puisse quitter mon poste, sans ne jamais faillir à mon devoir ? Je ne sais. Tout ce que l'on m'accordait était d'écumer ce couvent, en dehors de certains salles et des cellules des nonnes, qui m'étaient défendues, mais où je percevait la présence de leurs occupants comme si j'y étais. On m'inculqua la différence entre un invité et un intrus, et surtout à savoir me faire oublier, bien qu'il arriva que ma maîtresse m'ordonnât de l'accompagner, ce qui, pour des raisons m'échappant, l'amusait au plus haut point. En ce qui me concernait, j'attendais ces moments privilégiés avec impatience, des mois durant, et me sentais comblé de pouvoir ainsi la contempler, en un simulacre d'intimité ...

Lors de toutes ces années de servitude, je ne connus que ce Domaine isolé, épiant souventesfois les sœurs dans leurs supposés instants de solitude, jouissant de ce qui, dans leurs doutes, leurs peines et leurs prières, m'était des plus étrangers, mais qui, je ne sais trop pourquoi ni comment, me bouleversait. Veillant sur les pierres, la nuit venue, il m'arrivait de partager quelque rare instant avec mes pairs – qui arpentant les couloirs, qui contemplant le cloître, qui allant et venant, y compris hors de la demeure de ma maîtresse, ce qui m'était formellement interdit – tout en conservant mes distances avec leurs querelles dérisoires, préférant grandement savourer le spectacle se donnant à moi plutôt que d'avoir à le subir. Oui ... ce qui éclairait mes longues soirées résidait en l'assouvissement mon indiscrétion, d'être l'épieux tapi dans l'ombre de la beauté et des affres de ce monde. À défaut d'avoir droit à une existence, je jalousais et m'appropriais du quotidien des autres, à leur insu.

Il m'arrivait de songer à survoler le couvent, les nuits de pleine lune, d'aller découvrir ce qui m'était voilé, d'où venaient les étrangers de passage, jusqu'où volaient mes frères et sœurs. Quelle taille faisait le monde du dehors ? Combien d'âmes hébergeait-elle, et quelles âmes ? Avait-il semblance aux murs austères que je gardais, aux vignes qui les longeaient, aux bois lointains que j'avisais lorsque le ciel était clément ? Était-il parcouru des cantiques et des messes que je connaissais, sans pouvoir les comprendre, ou bien pouvait-on y ouïr bien d'autres psalmodies ?

Contrairement aux Sorciers de la fondation, nous ne pouvions nous nourrir des humains, à l'accoutumée devions nous nous sustenter sur le bétail environnant, à raison d'une fois toutes les deux nuits, la mort de la moindre bête étant sévèrement réprimée. Pour obtenir d'avantage de sang, les miens se disputaient – sans un mot ni un cri, en vue de ne point troubler la quiétude de nos maîtres, et pour laisser les mortelles à leur ignorance – les nuisibles du Domaine, un vulgaire rat se voyant être un mets de choix. Assurément, il ne serait venue à l'idée d'aucun d'entre nous de faiblir notre vigilance, ne serais-ce pour un gibier de catacombes, nulle gargouille n'aspirant à délaisser sa besogne, et ainsi s'attirer les foudres des Tremere.

Pourtant, cette nuit, je ne serais plus dans les bonnes grâces de la maîtresse … En dépit de mes espérances, je sentais bien qu'elle n'était plus. Les assaillants du couvent frappèrent au crépuscule, alors que nombre de Sorciers sommeillaient encore, et je craignais d'être le seul à avoir l'intime privilège d'avoir survécu, les Licornes m'ayant laissé pour mort lors du massacre, pressés par les flammes qui laissèrent dans leur sillage.

Ils auraient dû m'occire … Comment pouvais-je survivre à mon seigneur, sans pourtant être condamné pour mon effroyable incompétence ?! Et plus troublant encore, qu’étais-je supposé accomplir dorénavant ? Le Domaine était en flammes, et s’ajoutant à l’horreur du spectacle, l’incendie me terrifiait. Je n’avais plus rien à garder, plus rien à protéger … j’étais un piètre serviteur attendant mes ordres d'êtres n'étant plus qu'ossements et cendres, en d'autres termes, mon existence n'avait plus le moindre sens … Pourtant, je ne pouvait pas non plus me résoudre à attendre que le soleil me dévore … Quelque chose … de nouveau, d’intense, à côté du vide qui m’habitait me criait de ne pas … de ne pas … disparaître ?

Griffé par l'étreinte ardente du brasier, découvrant avec horreur les portes de l'Enfer, je m'échappais des ruines calcinées par je ne sais quel miracle, et loin jà du Domaine, n'étant plus qu'une torche à l'horizon, je repris mes esprits, tel si un autre que moi m'avait arraché à la destruction, et que jusqu'alors ne n'avais fait que d'extravaguer. Impuissant, déchiré par ma cruelle délivrance, je me laissais prendre par le vent, le suivant où bon lui semblerait d'aller, puisqu'alors je ne pouvais me trouver d'autre maître.

Au cœur de la nuit, pourtant, je l'abandonnais, arraché de mes limbes par quelque lueur lointaine, tandis que je me rendis compte que je culminais d'éparses nuées. Piquant vers terre, je dû hâtivement prendre siège sur une toit d'écailles, me sentant assaillit par la présence de tant et tant de bâtisses, à des lieues à la ronde. Mon ancien logis, étique et fade, ne pouvait égaler cette multitude de maisons à pans de bois, ces castels, ces clochers et …  par les sacrés vingt Dieux, ce sanctuaire céleste, trônant sur une île, et dont les ténèbres nocturnes ne pouvaient atténuer sa sublime. Si tel édifice était élevé au nom du Créateur, je me pouvais d'en être le Sourguet ...




Ordinaire* :  livre à la fois liturgique (de par son martirologe, qui consiste principalement en une liste de saints reconnus que l'on doit fêter et de par son Calendrier, où sont notés les extraits de livres saints à lire au réfectoire durant les repas) et de comptabilité d'une abbaye, d'un monastère ou d'un couvent (taxes, droits canoniques, etc.).

Wirtemberg** : il s'agit de la première orthographe du nom Wurtemberg, qui fut changée en 1806.



Et vous dans tout cela?


  • Prénom/pseudo : Gangrel / Viking / Flo
  • Age : 24 ans, bientôt 25
  • Hobby/passion : Jeux de Rôles, plaisirs de la table, contrées sauvages, histoire médiévale (des petites gens plutôt que des grandes), univers fantastiques, s'éloigner des sentiers battus et des lieux communs, etc.
  • Comment avez-vous connu le forum? En votant depuis un autre forum, qui partage une même top-list avec y-celui.
  • Un commentaire sur le forum ? J'ai beaucoup apprécié le design du forum, d'emblée, puis l'abondance des informations à disposition des joueurs, et je dois reconnaître y avoir été fort bien accueilli.



Dernière édition par Le Sourguet le Ven 13 Sep - 12:11, édité 17 fois
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Cécilia la Douce

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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Sam 7 Sep - 17:40

Bonsoir ! Bien, alors avant d'aller plus avant dans la lecture de ta fiche,je t'indique que nous tenions à ce que chaque vampire ait au moins un point dans les disciplines de son clan. Aussi te faut-il au moins un point en Puissance et un point en Endurance. Je vais donc devoir te demander de repartir autrement tes disciplines afin de pouvoir entrer dans ce modèle. Merci de ta compréhension et préviens nous lorsque ce sera fait.
Bonne soirée !
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Le Sourguet

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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Sam 7 Sep - 21:12

Petite mise à jour, avec correction de conjugaison et d'orthographe ("je" + "-ait" = pas beau).


Pour une meilleure compréhension de l'histoire de la Gargouille :
-Konrad von Beutelsbach = papa d'Ulrich von Wirtemberg / papi d'Eckbert von Wirtemberg
-Wirtemberg est l'ancienne orthographe du nom Wurtemberg.
-Le Gangrel qui sauva le grand-père de l'ourse se remboursa de la dette d'y-celui en étreignant l'un de ses petits-fils, à savoir Eckbert ; c'est donc le fameux Otto de la fiche d'information.
-Il est à parier que le Sourguet et sa maîtresse Tremere se connaissaient avant le rituel, mais cela c'est une autre histoire (que je développerais peut-être par la suite, en flash-back) ...
-Le couvent en question est probablement dans la région de Reims (on ne va pas incendier un couvent parisien d'office, tout de même).

Je viens de me rendre compte que je n'ai pas expliqué ce qu'est un "Ordinaire", et après avoir vérifié sur le net, il est très dur de trouver quoi que ce soit d'intéressant à ce sujet en de brefs délais. C'est un livre à la fois liturgique (de par son martirologe, qui consiste principalement en une liste de saints reconnus que l'on doit fêter et de par son Calendrier, où sont notés les extraits de livres saints à lire au réfectoire durant les repas) et de comptabilité d'une abbaye, d'un monastère ou d'un couvent (taxes, droits canoniques, etc.).
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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Dim 8 Sep - 12:38

Alors, fiche impeccable dans son écriture et son style, il n'y a rien à dire concernant ces points-ci, hormis des compliments. En revanche, nous avons quelques petits soucis sur la structure narrative employée : personnellement, je trouve très chouette le saut dans le temps pour comprendre qui était Sourguet, malheureusement, c'est un peu obscur pour en saisir les informations (j'ai dû user de ton dernier post pour bien tout comprendre). De même, grande question, qu'est-il arrivé à l'étudiant ?
Par ailleurs, on a un peu faim concernant la mentalité de la gargouille, serait-il possible de développer ce dernier passage ? Enfin, pour quelles raisons s'est-elle rendue à Paris ?

Courage, la validation n'est plus très loin !
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Le Sourguet

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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Dim 8 Sep - 12:50

Je crois que ce bond dans le futur serait moins intéressant si justement on savait ce qu'il advient de l'étudiant (cela tuerait les hypothèses, craintes et fantasmes des lecteurs ^^), mais je vais rajouter une note de bas de page pour bien comprendre ce qu'est un ordinaire.

Et en effet, je vais rajouter quelques détails sur la mentalité du Sourguet, ainsi qu'un passage sur les motivations le poussant à rejoindre Paris.
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Cécilia la Douce

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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Lun 9 Sep - 11:07

Préviens-nous lorsque ce sera chose faite. J'ai ouïe dire de petits soucis d'édition et de défoulement sur la CB, par ailleurs. Donc bon courage !
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Le Sourguet

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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Ven 13 Sep - 11:24

Après quelques ratés (qui m'ont fait passer sur openoffice plutôt que sur l'éditeur pour modifier et compléter mon récit) je suis enfin venu à bout de cette fiche.

Une fois ... Deux fois ... Adjugé vendu à la dame du premier rang !
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Deindre la Maudite

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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Ven 13 Sep - 20:11

Je suis contente que vous soyez parmi nous! Comme ça Frédérick arrêtera de me dire que j'affabule lorsque je lui dit qu'il existe des vampires qui volent!

(Bienvenue =3)
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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10Ven 13 Sep - 21:01

Monsieur le Sourguet, vous voilà validé ! Bon jeu parmi nous ! N'oublie pas de faire ta fiche de discipline et si tu le souhaites ta chronologie et ton carnet de relations Wink
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MessageSujet: Re: Le Sourguet ...   Le Sourguet ... Gorl10

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