The Dark Age

Forum RP dans l'univers de Vampire Dark Ages.
 
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 Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi

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Gilhem le copiste

Gilhem le copiste

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MessageSujet: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10Ven 5 Juil - 15:13

Et comme sous-titre, on pourrait dire "eh bé, on est pas dans la merde"... Enfin, surtout le personnage!

Fiche de présentation

Gilhem le Copiste



Informations

  • Nom :
  • Prénom : Gilhem
  • Infant de : Shravael (officiellement génération 5 dans le background du monde des Ténèbres, il aura, je pense, fait étreindre notre Sorcier par l’une de ses descendances à laquelle j’ai la flemme de trouver un nom, justifiant de ce fait l’écart générationnel.)
  • Sire de : [ICI] //
  • Lieu de naissance : Amiens, année 1093
  • Date de l'Etreinte : Année 1119
  • Age visible : la trentaine (pour être exact, 27 ans)
  • Age réel : cent-trente ans, dont 104 vampiriques
  • Clan : Tremere
  • Génération : 11e
  • Domaine : Son refuge, un atelier de copiste.
  • Discipline : Domination III - Augure II – Rego Vitae IV – Rego Elementum I





Il était une fois...

La lune et les étoiles brillaient en ce solstice d’hiver ; le ciel était dégagé, une chose étonnante. C’était en contemplant cette conjecture surprenante que je songeai au passé, un passé qui pesait désormais de tout son poids sur mes frêles épaules de Sorcier. Installé confortablement à même le sol, le dos calé contre le tronc d’un grand chêne, je contemplais depuis les hauteurs l’ébène qui avait enveloppée toute la ville. La nuit ne m’effrayait pas, l’aurait-elle du ? La nuit ne m’effrayait plus depuis un bon moment, car j’y étais habitué. A la vérité, je trouvais les ténèbres reposantes. Il n’était pas besoin de flamme pour les éclairer, seul suffisait l’éclat de mes souvenirs.

Je ne souhaitais pas voir ce qui était devant moi, préférant m’abandonner aux limbes de mes réminiscences. Et voici qu’elles m’embarquaient tout à fait. Je me revis, enfant illégitime d’un grand ponte de l’église locale. Je connaissais cette extraction, tout le monde la connaissait. Etait-ce toléré ? Non. Y en avait-il pour se fendre d’une remarque ? Non plus. A la vérité, je grandis sous la houlette de ma mère et de mes deux sœurs aînées, voyant peu mon père, sinon lorsqu’il revenait en notre modeste mais saine demeure. Ce n’était pas pour ses enfants qu’il revenait, bien entendu, mais ma mère conservait l’illusion en nous faisant passer un peu de temps en sa compagnie avant de céder à ses prières plus ou moins explicites.

Je grandis donc entouré de ce petit monde féminin. Ma faible constitution me dispensa des travaux manuels, et mon esprit plutôt ouvert décida ma mère à prendre sur les économies familiales pour me faire instruire, en premier lieu par le curé de la paroisse la plus proche, puis par un précepteur. J’appris vite à lire, vite à écrire, et me passionnai pour l’art de la calligraphie. On se dit alors qu’une carrière dans les ordres serait sans doute ce qui me permettrait de gravir le plus rapidement les échelons afin de soutenir la famille, et de rentabiliser cette érudition naissante, toutefois mon père s’y opposa. Avait-il peur que cela jase sur ma naissance ? Voulait-il m’épargner la destinée qu’il semblait lui-même avoir tant de difficulté à supporter ? Agissait-il pour un quelconque autre motif ? Je ne le sais, et ne le sus jamais. On me plaça en tant que laïc en apprentissage auprès des copistes du monastère le plus proche. La généreuse donation qui accompagnait ma formation suffit à faire se fermer les bouches les plus avides aux controverses… Ou du moins le pensa-t-on.

En réalité, cette période de ma vie fut difficile, on me préposa davantage aux basses tâches qu’on ne m’accorda le droit de toucher à une plume ou une tablette de cire. Mais j’appris toutefois, sous la houlette du bon frère Jean, qui, dans sa vieillesse, avait développé une forme de compassion, je suppose, pour cet enfant qui se présentait à eux. On me libéra de mes obligations lorsque je fus en âge de me marier, capable de tenir une plume, et tout pétri des lettres anciennes. Le frère Jean était un érudit, et j’ai entendu, dieu ait son âme, parler de son trépas quelques années seulement après que j’eus quitté ces murs.

Parlons mariage ensuite, une charmante jeune femme pour laquelle j’avais au mieux de la sympathie. Mais sa famille était riche, et en bonne entente avec la mienne. Ma mère s’était chargée de tout arranger, et l’on nous maria sans même nous avoir présenté. Maria était une demoiselle intelligente et dévote, une maîtresse de maison avisée, et une bonne couturière. Malgré toutes ces qualités, je ne pus jamais la considérer autrement que comme la femme dont m’avaient affublé les prétentions princières de ma mère. Nous eûmes deux enfants, deux fils. L’un se rangea à la vie de charpentier, il excellait dans le travail du bois, et l’autre s’engagea dans l’armée, partisan, disait-il, d’aider à l’amélioration du bon Royaume de France à présent que la situation à Jerusalem s’était apaisée. Pieux à la manière de sa mère, il s’embarqua donc pour les Etats Francs d’Orient, et je n’entendis plus jamais parler de lui, sinon pour l’annonce de sa mort, quelques années plus tard.

Ah, qu’il était bon le temps où je gagnais ma vie à la seule force de la plume d’oie, et où j’allais dans les environs, en tant que messager. Mon Amie Maria ne cessait de me reprocher mes absences, mais les meilleurs moments de cette vie étaient ceux que je passais loin d’elle et de ce confort qu’elle s’employait à distiller dans la maisonnée. Je fus, je le conçois tout à fait à présent, un père absent, et sans doute bien lointain pour mes deux fils. Et jamais ne me fus donné l’occasion de réparer cela.

Nous jouissions d’une vie confortable lorsqu’arriva l’histoire la plus singulière de mon existence. Mon aîné s’apprêtait à prendre les armes, il devait avoir tout au plus une quinzaine d’années, sans doute un peu moins, mon cadet était en apprentissage depuis l’été précédent, et révélait d’étonnantes prédispositions dans le travail du bois. Ma femme était seule, en compagnie de la jeune fille que nous avions engagée pour la seconder, enceinte de notre troisième enfant. J’étais pour ma part, parti battre la campagne, mon écritoire sur l’épaule. J’avais laissé mon cheval aux écuries, et m’étais présenté au fort le plus proche où, disait-on, un singulier homme s’était présenté la veille à la nuit tombée. Il cherchait quelqu’un qui eût des lettres, et l’on m’avait indiqué.

J’arrivai en vue du bonhomme, il me reçut en début de nuit. Il semblait jeune encore, bien qu’extrêmement las, et je me remémorai longuement après, cette rencontre étonnante. Il ne me demanda aucun travail d’écriture, ne fit que me questionner sur la région, et un sujet surprenant, son climat. Il semblait passionné par ce dernier point et ne cessait d’y revenir. N’étant pas moi-même agriculteur, j’étais peu au fait de toutes les subtilités dont il me parlait, et il était très clair qu’il en savait bien plus que moi, cependant je fus malgré moi emporté dans la conversation.

Il me fit promettre de revenir le voir (il usa sans doute de domination, je le pense à présent), sitôt que je constaterai des anomalies dans le ciel. Les jours suivant, je les employais à guetter ce signe quo devait préluder à notre rencontre future. Il se passa près d’une année avant que le signe ne survînt. Entretemps, Maria avait perdu son enfant, et en était inconsolable. J’avais presque oublié la demande de cet homme, trop occupé à, ainsi que l’avait exigé ma compagne, être présent à ses côtés dès que je le pouvais.

Mais un soir, alors que Maria s’endormait après avoir longuement prié et pleuré, je m’installais près d’une des étroites fenêtres de notre habitation. Quelle ne fut pas ma surprise de voir les étoiles se décrocher du ciel en longs filaments de lumière qui filaient vers le sol ! Aussitôt, les paroles du voyageur me revinrent en mémoire, et je me hâtai de faire seller un cheval pour partir sur les routes. Seule une lanterne me guida dans la nuit obscure, et seule elle m’évita de me perdre. La lune était un fin croissant seulement, en cette soirée là, et je ne pus me fier qu’à ma connaissance de la région.

Voici donc qu’en pleine nuit, je tambourinais comme un dément à la porte du fort tout proche. On s’éveilla, on redouta un pillard, on me reconnut, on me fit entrer non sans quelques injures bien senties. Il était tard, la chose était exacte.

L’homme était encore là, il m’attendait. Je reconnus son profil dans la cour, je le devinai plus que je ne le reconnus effectivement, à la vérité. J’avais le sentiment que c’était lui sans savoir exactement si tel était le cas, et il s’avéra que ce pressentiment était rigoureusement exact. En cette nuit encore, je ne m’expliquai pas cette certitude d’alors.

Il me tint des propos étranges et prophétiques, s’arma d’une clairvoyance désarmante. Il me dit que la pluie d’étoiles était de son fait. Vérité ou non, je l’ignore toujours, et mes contacts se sont trop distendus avec Shravael pour que je puisse envisager de lui poser la question de vive voix, et qu’il savait que je reviendrai. Il me déclara encore qu’il m’estimait prêt, utile pour son clan dans la lutte qui s’annonçait. Qu’un esprit comme le mien, et une culture comme la mienne sauraient se rendre indispensables dans la guerre qu’ils menaient contre les Démons et les Licornes. Ses propos me firent l’effet de m’adresser à un fou, mais son visage était parfaitement calme et neutre. La folie sans l’apparence de la folie, voici qui était une situation inédite pour moi.

Il me contraignit à le suivre, à quitter les environs avec lui. Comment il le fit ? A l’époque, je ne savais rien de la Domination, mais désormais… Cette contrainte qu’il exerçait sur mon esprit était si totale et suffocante qu’il lui suffisait d’un effleurement pour me plier à sa volonté seule. L’expérience fut, pour tout dire, extrêmement désagréable, mais je ne pus que l’endurer en silence. Sur le chemin, il m’expliqua de nombreuses choses, des éléments qui me semblaient, après maintes et maintes années de vie vampirique, tout à fait normales, cependant, à l’époque, c’était surprise qui primait sur mon esprit muselé par la domination. Je ne remis pas une seule fois en doute son propos, l’existence des mages et des vampires, des lupins, des fées, de tout ce folklore. Pourrai-je le faire alors que je n’étais même pas capable d’agir de mon propre chef après un simple effleurement de la paume ? Non, je retins tout ce qu’il avait à me dire, et regagnai avec lui le domaine d’un de ses infants tout proche.

Au petit jour, alors que les vampires de la maisonnée sombraient dans la torpeur, je pus retrouver un semblant de liberté d’action. Les vampires s’étaient endormis, mais les humains s’éveillaient. Des goules du jeune infant de Shravael, certainement, même si à l’époque, je ne connaissais pas le mot. Ereinté de cette nuit à tenter de me débattre mentalement, je renonçai bien vite à être de bonne compagnie, et sombrai à mon tour dans un sommeil plus angoissé que réparateur.

L’étreinte eut lieu la nuit suivante, sans grande pompe. L’infant que je ne devais plus jamais revoir, me vida simplement de mon sang, m’en laissa deux gouttes du sien, et m’offrit en pâture le premier humain qui passait par là. Ce fut dès lors Shravael qui prit le relais, m’employant en premier lieu pour la difficile tâche d’archiviste personnel. Son esprit était si fourmillant d’idées et de raisonnement qu’il trouvait nécessaire de consigner par écrit ceux qui, superflus, le détournait de ses préoccupations climatiques. J’eus dès lors le droit d’enchaîner les rapports, et de passer une première vingtaine d’années en son exclusive compagnie à mettre par écrit tout ce qui devait être écrit. Afin de me mettre au fait du clan, il eut la lumineuse idée de me préposer aux copies de documents d’archives, et c’est là que je passais une autre vingtaine d’années.

Débarrassé de son impérieuse présence qui ne tolérait pas le moindre écart, j’en profitais pour lier connaissance avec deux autres jeunes nouveaux nés, qui, comme moi, souffraient quelque peu sous la houlette de quelque autre maître tyrannique. Nos nuits étaient faites de principes et de préceptes, de recherches toujours plus ardues, toujours plus obscures. Sans en avoir conscience à cette époque là, alors qu’enfermé en espace clos, je me languissais de vastes espaces, et de longues chevauchées, je devins plus fort, de corps et d’âme.

L’usage du sang me fut apprit tard, dans quelque dessein obscure, sans doute. On ne me laissa pas le choix de mes études, et celle-ci, comme tout le reste, me furent imposées par les autorités bien pensantes. J’avais, parfois, quelques entrevues avec Shravael, mais à la vérité, il m’effrayait davantage qu’il m’attirait. Tant de puissance ne sauraient se concevoir sans des actes bien sombres, et de ces derniers, je n’avais aucune connaissance. Sans doute cela valait-il mieux, naturellement.

Mes premières sorties eurent lieu après quelques soixante années de réclusion à gratte le papier. Le monde avant changé, et je n’avais pas vu ces changements s’opérer. Je fus surpris, lorsqu’on me montra l’évolution de ma propre ville, étonnement plus grand encore lorsqu’on m’apprit l’existence de l’ensemble des autres clans. Ma connaissance de la société vampirique était lacunaire, et ces lacunes devaient bien être comblées à un moment ou à un autre. Je me révélai vite incapable à quoi que ce soit pour les jeux de cours, et l’on jugea opportun de m’employer en interne, à former les jeunes recrues, superviser une part des archives du clan, et m’envoyer parfois sur le terrain pour que je puisse me dégourdir les jambes tout en donnant la chasse aux Licornes et aux Démons. C’est ainsi que la chose survint.

En contemplant la lune, je me remémore les événements des nuits précédentes, le souvenir en est encore tout frais, si frais que j’ai supplié mes comparses de me laisser cette soirée de libre. Je ne pourrai pas juguler longtemps le flot de réminiscences, et il ne fait pas bon d’avoir ce genre de pensées au sein du clan, je le sais.

Si mon cœur n’avait pas été immobile et desséché depuis de nombreuses années, il aurait bondit dans ma poitrine alors que je me sens vaciller. Je lutte un instant, puis la scène me happe.

Nous étions là, donnant la chasse à deux Licornes dont la trace nous avait été signalée quelques temps plus tôt. Nous les encerclions, nous donnions la charge. J’avais dans mon équipe quelques adeptes du Creo Ignem. L’affaire fut vite entendue, incendie ou non, il fallait viser la tête. L’un des deux enfants de Saulot semblait jeune, c’était une forme dans la nuit, une forme qui se débattait mal de la pointe de sa lame. Oh, à la vérité je ne pouvais pas lui en tenir rigueur, je n’étais, pour ma part, jamais parvenu à tenir l’un de ces instruments de torture.

L’autre était plus expérimenté, mais la jeunesse de sa comparse était sans doute un handicap. Il fit ce que tout sire un tant soit peu humain aurait fait dans ces circonstances, il attira sur lui l’ire de mes petits congénères, et intima à sa protégée de s’en aller. Je la poursuivis, il était perdu, bien entendu, mais elle aussi. Cette tentative de fuite ne saurait être tolérée. Déjà, je me préparais à m’emparer de son sang d’un simple effleurement.

Cela, je ne le fis pas. Dans sa course folle, son capuchon se rabattit en arrière, et je pus discerner à la faveur de la lune une chevelure de miel, et le visage le plus parfait qu’il m’avait été donné de voir, je cessai de courir, frappé par cette apparition davantage que par la frayeur que m’inspiraient mes anciens si je ne capturai pas un si beau papillon. Je ne le capturai pas, non, la laissai s’enfuir vers la ville la plus proche.

Frappé de stupeur, je dus me ressaisir pour aller affronter mes comparses. J’arrivai juste à temps pour arracher le vampire exsangue à la folie assoiffée de mes ouailles. Il était faible et condamné, la chose crevait les yeux. J’arrachai à sa bouche le nom de la divine apparition puis laissai son âme en récompense à mes chasseurs, espérant qu’ils oublieraient ainsi pour un temps la présence de la plus magnifique Licorne qu’il m’avait été donné de voir, Deindre.

Et à présent, je suis sous cet arbre, sous ce clair de lune, à penser à cette apparition fugace sans espoir de la revoir un jour. Je suis là, et on me quémande.

« Mon Frère ? »

Un de mes comparses est là, tremblant sous la lumière blafarde. Il paraît décomposé, inquiet peut-être de voir son supérieur d’ordinaire si vif se morfondre ainsi comme un jeune amant éploré. Le comparse n’attend pas, il parle, il trouble ma quiétude.

« Notre maître Shravael vous a fait parvenir une mission. Il reste bien trop de Licornes à Paris, il faudrait que vous partiez, que vous les traquiez, et que vous les tuiez avant qu’elles ne gagnent la confiance de notre Prince. Leur Conseiller également doit disparaître mais cela… ce n’est pas de votre ressort. A déjà été prévue à votre intention une librairie dans la capitale, vous pourrez y loger confortablement et y entretenir un commerce. »

Et voici que la guerre reprenait.



Et vous dans tout cela?

  • Prénom/pseudo : Raphaël. On me connaît également sous le surnom du Sorcier aux cheveux roses, du fana de salubri, ou du profane en Dark Age.
  • Age : 22 ans
  • Hobby/passion : Je suis un passionné de Harpe, je suis d’ailleurs au conservatoire en cycle professionnel et ambitionne de devenir concertiste. J’aime beaucoup le jeu de rôle sur table (mon conteur est d’ailleurs dans le coin !) Je suis d’ordinaire peu fana des RP’s en monde médiéval, mais… j’ai eu une idée fourbe pour enquiquiner le personnage d’une amie, et je ne compte pas m’en priver.
  • Double-compte? De qui? : Pas prévu au programme.
  • Comment avez-vous connu le forum? Deindre ! (Ainsi que tous les membres du forum de la Mascarade présents dans les environs.)
  • Un commentaire sur le forum ? Esthétiquement parlant, un gros coup de cœur. Et sur le plan du contenu… on verra bien quand ça commencera à RP' dans tous les sens!
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Cécilia la Douce

Cécilia la Douce

Brujah - Haut ClanBrujah - Haut Clan

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MessageSujet: Re: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10Ven 5 Juil - 18:38

Bonsoir et bienvenue. Je commencerai par dire qu'abandonner femme et enfants pour courir après des étoiles filantes, c'est tout simplement scandaleux. D'autant plus si c'est pour finir entre les griffes pustuleuses des Usurpateurs.
Cela dit, très jolie fiche, et peut-être amènerez-vous quelques qualités humaines à un clan qui n'en a guère. C'est mon caractère optimiste qui parle.
Fiche validée, donc, n'oubliez pas le protocole fiche de disciplines/relations/domaines, et surtout, de vous amuser. Bon jeu et à bientôt !
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Le Fou

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Malkavien - Bas ClanMalkavien - Bas Clan

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MessageSujet: Re: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10Ven 5 Juil - 18:57

Excellente fiche qui me fait pâlir de jalousie ! ^^ Le petit détail de rien du tout sur ta femme auquel tu ne penses plus du tout m'a fait tiquer sur le coup, mais bon, tu n'es pas obligé après une si belle fiche de décrire toutes tes pensées de ces années auprès des Tremeres. ^^ Hâte de voir ton personnage en RP ! Amuse toi bien à retrouver ta belle !
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Gilhem le copiste

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MessageSujet: Re: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10Ven 5 Juil - 19:10

Cecilia, merci bien. Un peu d'humanité chez les Sorciers... ma foi, je pense que ton optimisme est un peu débordant. Ceci dit, on verra bien la façon dont évoluent les choses, mais de la part d'un doux psychopathe oubliant les siens pour courir après les étoiles... (disons que tout dépendra d'à quel point la Belle me rembarrera!)

Le Fou, merci (mais non! Il ne faut pas pâlir de jalousie oO). Oui, en effet, j'aurai pu y penser. Je suppose que notre cher Copiste n'aura pas totalement oublié les siens, bien entendu, même si l'attachement qu'il éprouve à l'endroit de cette pauvre Maria sera plus du ressort de l'amitié que de l'amour, la pauvre quand même :/

En tous cas, je file remplir les formalités d'usage, et merci de l'accueil Wink
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Gauthier de Cambrai

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MessageSujet: Re: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10Ven 5 Juil - 20:12

Bonsoir,

Bien que mon avis n'ai pas était sollicité, je suis heureux de t'accueillir sur ce sublime forum (j'aime nous lancer des fleurs) que nous avons, avec tant de plaisir, mit en place (heureux qu'il te plaise). Après la lecture de ta fiche, de long en large, de travers et dans tout autre sens. Je comprends que mon avis n'est pas était demandé. La lecture a était très agréable, j'aime bien le personnage et son histoire me plaît beaucoup. Tu remplies à merveilles les contraintes du forum (Dieu seul sait ô combien elles sont nombreuses) et tu mérites ta place, d'autant plus qu'on te la donne !

Bon courage pour la suite, en espérant que quelqu'un t'étripe proprement pendant un RP.
Bon jeu.
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MessageSujet: Re: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10Ven 5 Juil - 20:26

Mes Remerciements Alastair. Vous avez effectivement fait un travail brillant (et de titan) sur le forum, et cela doit être salué, oui. Je suis heureux que Gilhem t'apparaisse comme une bouille plaisante (à défaut d'être sympathique, restons Tremere que diable!) J'ai d'ordinaire peu de sympathie pour les Tremere, et suis un grand fan de Salubris, cependant ce personnage aurait beaucoup perdu avec un tel choix de lignée. Les contraintes sont nombreuses, oui, mais devant la complexité de l'univers de Vampire, la chose ne me choque pas. J'ai beaucoup joué et masterisé sur la version papier, et je les comprends et acceptes tout à fait. A vrai dire, j'ai même un moment cru que Gilhem ne passerait pas, précisément parce qu'il signe pour une bonne dose d'ennuis du côté de son clan, mais l'aventure sera drôle.

Encore une fois, et ainsi que je le disais sur la Mascarade, j'ai pleinement conscience qu'au premier Tremere à tendance conservatrice, mon personnage en prendra pour son grade, et je l'accepte totalement, il faut, comme qui dirait, savoir assumer ses choix, même les plus tarés Smile
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MessageSujet: Re: Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi   Gilhem le Copiste - Tremere Amoureux transi Gorl10

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